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"LA SEULE DIFFERENCE ENTRE LA STUPIDITE ET LE GENIE? C'EST QUE LE GENIE A SES LIMITES" A. Einstein

par Roger Kint

"LA SEULE DIFFERENCE ENTRE LA STUPIDITE ET LE GENIE? C'EST QUE LE GENIE A SES LIMITES" A. Einstein

« D'après l'éthique morale, l’Homme ne nait ni bon ni mauvais, et surtout, tous sont égaux. Sauf que de fait, la Nature telle la représentation de l'allégorie de la victoire, prend parti et décide de doter certains de plus d'intelligence, sinon d'autres de plus de stupidité ».

Que se passerait-il, si pour échapper à un héritage de déficience mentale, vous mentiez assez longtemps sur le fait d’être doté d’un génie inégalable, qui de plus, se manifesterait dans une famille, peu perspicace, tel un miracle, tel le maillon évolutif d’une chaine rouillée et stagnante ? Finiriez par être absorbé par cette illusion, qu’au départ vous aviez créée pour les autres ? Pour pallier à vos étourderies répétitives, qui pourraient mettre en péril cet « hémisphéral » mensonge, vous pourriez, par exemple, dire que diagnostiqué trop tard, comme surdoué, vous n’auriez pas bénéficié de votre enfance afin de maximiser vos connections neuronales….

Eh bien laissez-moi d'abord répondre: ramassis de bêtises!!!

Ainsi le conte de Carnitis, nous ouvrirait-il un semblant de connaissance et de compréhension face à ce besoin ultime de reconnaissance impossible, dû à une « très, très, très…forte existence de non création! ».

Quand les nains se prennent pour des géants, où est le « bizarre », dans le fait de se surestimer ou dans le fait de vouloir changer de catégorie « d’anomalie »vivante?

Ainsi nous ferons référence à cette cet "estimé don du destin " qu'est Carnitis, pour nous guider dans ses propres ténèbres, mais prenez une lanterne car cette première, ne sait même pas ce que c'est!

Commençons en exemple ce " conte de sorcières aveuglées", par l'histoire de Carnitis , encore une fidèle compatriote d'Echosland, qui, immédiatement trouva ses marques en ce lieu de damnation spirituelle!

A peine arrivée, avait-elle su qu’elle n’aurait nul besoin de s’adapter, car ce lieu était la promesse d’un mode de pensée et de vie similaire au sien, c'est à dire empli de mensonges et de « surenchère dans la surévaluation du soi face aux autres »...

En sommes, elle trônait sur le podium de la mythomane qui aurait pu « travailler partout et faire tous les métiers du monde y compris, cosmonaute! Elle aurait même pu découvrir une nouvelle planète, et aussi, la planète terre si cela n'avait déjà été fait! ».

Carnitis avait rencontré ce cher Pillicin- que nous n'avons plus besoin de présenter (enfin si nous devions vous rafraîchir la mémoire, il suffirait de dire que c'est celui qui a sauvé le monde.... Comme tous les autres d'ailleurs!)-lui ouvrit le portail du vortex spatio-temporel menant à Echosland, puisque voulant se faire aussi bien voir de ses employeurs que de son très- petit- restreint groupe d'amis, la présenta comme serve potentielle. Déjà dans un état d'esprit conforme à l'idéologie « Echoslandienne », il ne fut guère difficile pour cette direction de l'accepter comme nouveau membre de leur "famille"(ou plutôt, comme nouvelle bûche nourrissant leur brasier infernal).

Elle souriait, s'esclaffait, et se présentait à qui voulait l'entendre, comme la personne la plus généreuse, joyeuse, intelligente, et forcément, honnête qu'ils puissent trouver au sein d'Echosland.

Mais son jeu ne dura guère. Si les premiers étaient enclins à vouloir croire à la possibilité d'une amitié nouvelle avec une collègue, sympathique, son sournois sourire finit par la trahir. Car comment ne pas se faire trahir par des zygomatiques éreintés par l'hypocrisie? Comment ne pas ciller face à certaines faiblesses telles que des inattentions (écouter un client malhonnête médire sur une collègue en souriant et ne pas voir que cette dernière l'avait suivi du regard jusqu'à sa caisse où dorénavant, elle voyait cette nouvelle compatriote rire avec un badaud, et tout cela…à ses dépens), ou même le regard acéré de personnes bien trop lucide pour tomber dans le jeu d'une personne qui se dirait détentrice du génie ultime?

Cette Carnitis comme nous le disions, aurait pu venir de l'espace, créer la race humaine, le pyramides et se réincarnait 500 fois avant de révéler sa vraie identité au monde (néanmoins s'il faut "rendre à César ce qui est à César, elle eût l'infinitésimale intelligence de ne pas se proclamer Comte de St Germain!).

Cependant, la question qui se pose est pourquoi ce besoin de reconnaissance et de lumière avec un tel intellect, et surtout pourquoi Echosland, quand on peut conquérir (ou reconquérir) le monde?

Voilà chers amis toute la problématique de l'histoire du jour :

  • Carnitis? NON!

  • Comment même les lumières obscures peuvent s'éteindre dans la lumière de la Vérité?

  • Comment une bonne stratégie peut être anéantie par de mauvaises tactiques?

En y répondant nous saurons que dorénavant, ce n'était pas une « Lumière » de celle du 18ème mais, une créée par un accident radioactif- Réflexion ! Pareillement, dans les accidents de centrale nucléaires, les espèces mutantes sont hiérarchisées selon le potentiel positif de la mutation, cela allant de l'humain développant de nouvelles aptitudes, au ver de terre à deux têtes. Eh bien ! Pour Carnitis, il ne fut pas difficile de découvrir que sur cette échelle (Veuillez excusez mon erreur, nous voulions dire : SOUS cette échelle) elle passait bien après le Lubricina.

Cette enfant, enfin, cette adulte avec un cerveau puéril- de l’âge où les enfants pensent qu'ils peuvent eux aussi tels leurs idoles, devenir des super héros simplement en revêtant un costume- suivit le chemin dans lequel, la clarté des rayons de la désillusion étaient réfractés par un bouclier de balourdises (invisible) autour d'elle. Ah croire que Pillicin et, avaient peut-être de super aptitudes après tout...

Un jour, alors qu'elle ne travaillait pas (donc ne vivait pas), elle alla sur son lieu de villégiature favori, une boutique d’Echosland, là ou d'habitude elle travaillait avec sa collègue, Line, celle-là même qu'elle croyait avoir dupé avec son pathos à souhait, ainsi que, ses sourires... hypocrites!

Y rencontrant pour la première fois une autre collègue avec qui elle n'avait jamais travaillé, elle afficha un mépris sans nom, afin de donné un semblant de confiance dans le fait qu'elle s'était octroyé les lieux, afin d’en faire son territoire (petite étude à faire : vérifier si les vers de terre, peuvent marquer leur territoire).

La jeune fille qui la vit faire le paon, ne se laissa prendre par son sourire ultra brillant qui éblouissait quiconque aurait pu voir les tâches faisant Carnitis; une aura de stupidité dont les armes , ne se trouvaient que dans un discours pompeux (rien de bien substantiel, ne pourrait être rapporté ici, de ses exposés).

Comme un piano lâché à plus de 500 mètres au-dessus d'un lac paisible, le lac deviendrait roc alors que le piano, exploserait (merci à ce cher Newton qui découvrit l'importance relative des forces absolument invisible!). Carnitis commis l’erreur de servir le même chant à quelqu'un de serein, mais tel l'adage, le dit si bien : il faut se méfiait de l'eau qui dort!

Alors qu’elle parlait de manière ... Sonore, afin d'afficher un lien d'amitié avec sa « Co locatrice » de travail, Line. Cette collègue qu'elle défiait volontairement d'une absence de politesse, se mit soudainement à rire, un rire caché mais de ceux qui ont trouvé le Plan, qui ont trouvé cette idée qui fera d'eux des marionnettistes de l'ombre (avouons-le, si on sait qui vous êtes alors vous avez déjà perdu!).

Ainsi, elle alla chercher un des filets de lavages géants, vendus exclusivement chez Echosland et pour la modique somme de…3 fées et une dent...

Dans toute l’intelligence du directeur des achats d’Echoland, ce dernier avait commandé des filets censés protéger une couette d'autres vêtements lors d'un lavage commun, tel un filet à humain pour les protéger des papillons (Oups, ne serait-ce pas le contraire qui aurait du être logiquement fait?).

Témoignant du mépris de cet humain intellectuellement édentée, la jeune « planificatrice » dé respectée, posta un filet sur l'huisserie de la porte. Elle ne voulait pas manquer le spectacle à venir, et ainsi, se positionna à l'entrée du magasin ou les deux collègues parlaient encore.

D’après l’école de psychiatrie Gestaltiste et surtout, le Docteur Karl Dunker :" La perception met en jeu la saisie d'un ensemble de signes stimulants et, il y’a primauté des relations entre éléments de base dans un stimulus visuel ».

Ainsi Carnitis n'eut- elle cette capacité attribuée à chaque humain, depuis son développement fœtale jusqu’à son âge « adulte », peut-être était-ce parce qu'elle était, ce qu'elle aimé à s'identifié à, id est : un super humain? De ce fait, cette capacité primaire, à savoir qu'en arrière-plan c'est l'objet qui se meut et non le fond, le paysage (logique implacable!) elle ne put l'assimiler et la comprendre que trop tard…

Alors qu'elle voulut sortir, se disant que le filet n'était qu'un chose infiniment inférieur à elle, et qu'elle pourrait ainsi, passer littéralement à travers les mailles du filet; elle se retrouva sous les yeux des client-badauds, qui observaient cette sotte, se surestimer, s'entortiller, et finir tel un saucisson par terre, le filet l'avait "avalé" crue, et vivante, puisqu'elle pouvait encore respirer... (Nous aurions dû prier pour qu'elle meurt asphyxier, cela aurait été moins douloureux pour elle!) Entendant des cris de douleurs, et l'alarme du magasin ce mettant en marche, à cause du portique de sécurité, auprès duquel elle tomba, les clients se ruèrent vers la sortie, pensant à une alerte à la bombe, elle se trouva ainsi piétiné. Assénant des coups de pieds involontaires, les clients ne jetèrent guère de regard sur quoi ils couraient.

Lorsque la majorité fut sorti(l'autre préférant profiter du plus d'espace, à travers une fausse surdité de circonstance, pour continuer leurs achats), elle essaya de se relever, mais le sang qui coulait et son visage tuméfiait surprit un vieux monsieur, qui pensa que la faucheuse, venant le mandater, était vraiment "vilaine, monstrueuse", il dévissa le bout de sa canne et en extirpa une lame intégrée, une de celle, qui se fabriquait à l'époque des coupe gorges. Pensant qu’il ne se laisserait pas aussi facilement embarqué par « le bossu de notre pavé », se mis en garde, or à ce moment, Carnitis poussant un râle de souffrance et ne voyant plus que d'un œil, essaya de prier de l'aide, néanmoins, seuls des gargouillis d'outre-tombe (là où elle allait, justement !) s'enfuirent de sa bouche. Le vieux monsieur toujours en garde, par reflexe lui éperonna le pied, puis voyant que cette faucheuse souffrait de son coup, il émit un rire enfantin, puis sautillant d’une jambe à l’autre, tout en faisant tournoyer sa canne au-dessus de sa tête, une lueur jaillit dans ses pupilles. Une de celles des personnes qui lors d’un dernier combat n’hésiteront pas à laisser la peste cachée en eux ressortir, incendier leur tripes d’un feu enragé, et ainsi, porter tous les coups possibles, même les plus bas… Soudain, il s’arrêta de sautiller et son regard se crispant dans un sérieux, il s’esclaffa d’un cri de cow-boy avant de « décapiter »… sa langue. Cette dernière, la bouche toujours béante de douleurs, ne vit pas le coup supplémentaire arriver !

La canne qui depuis quelques années était devenue une extension indispensable à l’aide de ces déplacements, était désormais, devenue arme létale, et dans la plus grande incongruité, il se mit à chantonner :

  • « Tel un navet elle retourne dans son bourbier,

Rantanplan, rantanplan,

Atteinte de la Chauchade aigüe elle ne comprend pas le Tohu Bohu,

Rantanplan, rantanplan,

J’impose le gage pour que de ses rebondissements je me dégage,

Rantanplan, rantanplan

Je lui ai crevé le bidon ! »

Concluant son chant militaire sur un cri de joie face à la bête qu'il voyait vaincu par sa vigueur de jeunot (temporairement retrouvé), il ne resta que quelque secondes avant de reprendre son regard de marbre, éteint. Puis, boitant vers la sortie, il fit signe de la tête à Line, qui, ne comprenant rien à ce qui se passait, à cette surprenant transformation et cure de jouvence instantanée, est toujours dans son enclos de sécurité qu’était le comptoir de vente, ne put qu'automatiquement bouger la tête de bas en haut pour le saluer en retour, toujours dans un mutisme horrifié.

Quant à l'autre fille, celle qui l'avait piégée, elle se prémunit du masque d’hypocrisie de Carnitis (celui-là même qu’elle dû tomber lorsque hors de contrôle, ne lui restait plus qu’à pleurnicher de désolations), le mettant sur son visage, elle la fit rouler, « tendrement » sur elle-même jusqu'à la réserve de la boutique. Carnitis essaya de la remercier de ce sauvetage in extrémis, mais n'arrivait toujours pas à parler.

Line qui quelques minutes après le départ de l’ersatz de Don Quichotte, reprit ses esprits complétement, et appela les secours. Carnitis fut emmener, toujours dans son filet, aux urgences (en effet, les ambulanciers qui avaient réussi à retrouver le morceau de langue, n’avaient guère le temps de la détacher sans qu’il n’y ait nécrose des tissus).

Quand le cerveau zozote alors la langue s’y met aussi.

En conséquence, Carnitis finit bègue.

Ni égalité ni société, car si Carnitis s'était une seule fois posé la question concernant l'acquiescement de tous face à un seule détenteur du pouvoir, alors elle saurait que contrairement aux idées reçues, il faut de l'anarchie pour qu'il y’ait hiérarchie, ce qui est concis, mais pour un peu plus développer : sans désordre l'ordre n’a guère de signification, ainsi sans désordre pas de coalition contre un ennemi commun qui essayerait de nuire au bon déroulement d'une société faussement parfaite!

De plus jamais elle n’aurait dû avoir la prétention de croire qu’un jour elle pourrait détenir un pouvoir comparable à celui des dirigeants d’Echosland ( Eh oui ! ce sont toujours les faux méchants qui perdent ! car les vrais ne cesseront de se cacher dans l’ombre…)

Parallèlement, nous pourrions surligner ce filet comme la punition du faux ordre, de la réecriture de son histoire par elle-même. Commençant son propre cycle d’ordre et désordre, et créant ainsi un égarement concernant l’ordre auquel sa vie n’appartenanit pas, Carnitis fut seulement celle qui poussa le premier Domino, qui devrait faire tomber tous les autres de sa vi, seulement cela.

C'est ainsi que nous pouvons résumer ce que la grande Carnitis désirait ardemment mais surtout inconsciemment, nous enseigner des lumières qu'elle avait côtoyer:

A chaque action une réaction, et la pensée condamnable.

FIN !

"LA SEULE DIFFERENCE ENTRE LA STUPIDITE ET LE GENIE? C'EST QUE LE GENIE A SES LIMITES" A. Einstein
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